Le petit village d’Espigoule tourne une page de son histoire. Jean-Marc a vendu son bistrot. Après bien des hésitations, il accepte de partir en vacances au Sénégal avec son ami Momo. Une nouvelle aventure commence. Arrivés à Dakar, ils font la connaissance d’un troisième larron, Modou, un sénégalais un peu filou, chargé de leur faire découvrir le pays. Malgré des débuts difficiles, les deux compères succombent rapidement aux charmes de l’Afrique et de ses habitants.

Ce deuxième volet de la saga d’Espigoule nous entraîne de la Provence au Sénégal (Toubacouta). Une ode à la fraternité en forme de road-movie qui jette un pont entre deux cultures et donne une vision joyeuse de la vie.

Afrik’aïoli
Comédie (89 mn)

Date de sortie 22 janvier 2014

Production Les Films d’Espigoule, Les Films Velvet (Frédéric Jouve), en coproduction avec La Tomana Films et Belavox Films
Distribution Les Films d’Espigoule
Scénario Jacques Dussart, Christian Philibert
Réalisation Christian Philibert
Image Patrick Barra, Franz Ventura
Son Sébastien de Monchy, Godefroy Giorgetti
Montage Franck Littot
Mixage Jean Holtzmann, Pascal Hochenedel
Etalonnage Michael Derrossett
Musique originale Michel Korb
Musique additionnelle Au marché du soleil (Massilia Sound System)

Interprètes Jean-Marc Ravera (Jean-Marc), Mohamed Metina (Momo), Modou Cissé (Modou, le chauffeur de taxi), Abdoulaye Diakhaté (Abdoulaye), Noté Barro (Noté), Bintou Barro (Bintou, la fille de Noté), Thierry Tillieu (Thierry), Yaya Thior (Yaya).

Partenaires CNC, Région PACA, Conseil Général des Bouches-du-Rhône, Planète Rouge

Format Image HD 16/9 – Son 5.1
Numéro de Visa 131892

Prix festivals Prix Michael Kael au Festival International du Film Grolandais 2013

Extraits de presse

J’ai été ému aux larmes. Les acteurs sont extraordinaires. C’est incroyable. C’est Raimu, c’est Fernandel (…) Mais ce qui m’a vraiment bouleversé, c’est la poésie de ce film, c’est complètement poétique (…) C’est un film très réaliste et on est emporté par la poésie. C’est merveilleux de voir qu’un village provençal, c’est un village africain.

Philippe Caubère

Par petites touches et saynètes drôles, inventives et humanistes, la cuisine Philibert est humble, mais raffinée. De quoi attirer de nouveaux fidèles.

Cédric Coppola, La Marseillaise (5 décembre 2013)

Lors de l’avant-première à Nice, le public jeune et métissé, plus adepte des blockbusters hollywoodiens, s’est levé pour applaudir le générique de fin, après avoir ri à gorge déployée. A croire que le syndrome Espigoule fait perdre la boule !

Alexandre Carini, Var Matin (20 décembre 2013)

Cette comédie loufoque et extra-terrestre emmène ses héros au Sénégal (…) Au coeur de cette comédie sociale, tout respire l’humanisme et l’amour de la vie…

Myriam Perfetti, Marianne (18 janvier 2014)

Les 4 saisons d’Espigoule était un vrai-faux documentaire savoureux, à mi chemin entre du Pagnol et Striptease, auquel le bouche-à-oreille a fini par donner un statut de film culte. On retrouve avec plaisir deux personnages pour ce voyage avé l’assent dans une Afrique joyeuse et bordélique.

D-J, Le Canard Enchaîné (22 janvier 2014)

Entre documentaire et fiction, Afrik’aïoli ne tombe jamais ni dans le misérabilisme, ni dans l’angélisme, ni dans le mépris ou le racisme bien évidemment, même si ces sujets sont abordés en douce par le biais de l’humour. (…) Le rire naît bien sûr, presque à chaque scène, de la plongée de deux Français provençaux jamais sortis de leur village dans un monde dont ils ne connaissent rien, ainsi que de la faconde de nos deux héros. Ce n’est jamais prétentieux, jamais lourd, c’est joyeux, chaleureux et fraternel. Loin des insanités des comiques anti- système français.

Jean-Baptiste Morain, Les Inrockuptibles (22 janvier 2014)

Si elle s’avère pleine d’humour et non dépourvue de sens critique, cette aventure marque surtout par la tendresse qui s’en dégage.

P-A, L’officiel des spectacles (22 janvier 2014)

Entre fiction et documentaire, ce film au titre culinaire est, malgré les apparences et son accent, bien plus près des Copains d’abord de Brassens que des supporters de l’OM.

Pariscope , (22 janvier 2014)

Son Afrik’aïoli est à la fois un hymne à la fraternité bercé par la musique du Massilia Sound System, une franche rigolade, la chronique amusée de deux Provençaux moyens bousculés dans leurs certitudes. Avant même sa sortie en salles, le film est déjà un phénomène dans la région. Des milliers de spectateurs hilares l’ont vu en avant- première.

J-C, La Provence (Sortir, du 22 janvier 2014)

Quinze ans après nous avoir révélé les secrets poético-cocasses d’Espigoule, Christian Philibert entraîne le barman du village à la découverte du Sénégal. (…) Les espigoulais apportent une nouvelle fois poésie et chaleur humaine, une candeur assumée, dans les salles obscures (…) Génial, Philibert ? Et si c’était le cas ?

Patrick Coulomb, Marseille l’Hebdo (29 janvier 2014)

BONUS

Espigoule se tire ailleurs (mini-série en 6 épisodes) et autres réjouissances

Episode 1 : Au frais de la princesse

Episode 2 : La connerie elle est ici !

Episode 3 : Va voir Fernande !

Episode 4 : Le cancer des mains

Episode 5 : Ni fleurs, ni couronnes

Episode 6 : Départ en couille

Bonus 1 : Jean-Marc vend le café du cours d’Espigoule

Bonus 2 : Tournage aéroport de Dakar

Bonus 3 : Sourissez !

Bonus 4 : Un tournage marathon

Bonus 5 : Jean-Marc chante Les Mots Doux sur le tournage

Bonus 6 : Avant-première à La Seyne-sur-Mer

Bonus 7 : Les avant-premières de l’été 2013

Bonus 8 : L’avis de Philippe Caubère

Bonus 9 : Message de Toubacouta

Bonus 10 : Le reportage France 3